Damnation, poème inspiré du film Ladyhawke de Richard Donner
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Damnation
Poème (Cinérime) inspiré du film : «Ladyhawke» de Richard Donner
Avertissement : il peut être préférable d'avoir vu le film avant de lire le poème...
Avertissement : il peut être préférable d'avoir vu le film avant de lire le poème...
Sois à jamais maudit, vil séducteur félon,
Toi dont la cruauté égale la bassesse.
En reniant le Ciel, tu as souillé ton nom,
Et appelles sur toi ma lame vengeresse.
Toi dont la cruauté égale la bassesse.
En reniant le Ciel, tu as souillé ton nom,
Et appelles sur toi ma lame vengeresse.
Tu vendis à Satan, pour un horrible pacte,
Ton âme qu'autrefois j'admirais pour son zèle.
A compter de ce jour le moindre de mes actes,
Aura pour but ta mort dans la sainte Chapelle.
Ton âme qu'autrefois j'admirais pour son zèle.
A compter de ce jour le moindre de mes actes,
Aura pour but ta mort dans la sainte Chapelle.
Bien malheureux amants sommes-nous devenus !
Oh toi, ma bien-aimée, dont le regard si clair,
Illuminait ma vie d'un amour absolu,
Tu sillonnes le jour ton nouvel univers,
Oh toi, ma bien-aimée, dont le regard si clair,
Illuminait ma vie d'un amour absolu,
Tu sillonnes le jour ton nouvel univers,
Tandis que sur le sol, écrasé de douleur,
Vagabond solitaire en quête d'une étoile,
Je crie le désespoir qui bouillonne en mon cœur.
Est-il assez puissant pour déchirer le voile,
À suivre...
Vagabond solitaire en quête d'une étoile,
Je crie le désespoir qui bouillonne en mon cœur.
Est-il assez puissant pour déchirer le voile,
À suivre...
