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Réflexions sur le monde de demain que nous bâtissons aujourd'hui...
  Vous trouverez dans cette rubrique des informations succinctes concernant divers domaines qui préparent notre avenir, celui de nos descendants, et... le nôtre si nous considérons que la réincarnation est réelle. Il ne s'agit bien sûr pas de développer des théories scientifiques ni même d'analyser des données qui échappent à nos cerveaux d'humains lambda ! Il s'agit simplement, à travers des anecdotes, livres ou articles, de réfléchir sur ce que la science nous prépare, et de ne pas assister, totalement passifs ou impuissants, à la fabrication d'une Terre à la convenance de quelques élites chez lesquelles les mots altruisme et compassion n'existent pas.
La « Fabrique du mensonge » : flous, omissions et pensée unique
 Écouter l'article sur Spotify (septième épisode du podcast : Bâtissons un futur enchanté)  
   
   Nous avions prévu un tout autre thème pour ce septième épisode. Mais, le dimanche 9 février 2025, quelques jours après notre quatrième article paru mi-janvier sur l’influence grandissante du wokisme et la mise en place prochaine du futur programme d’éducation à la sexualité dans les écoles, collèges et lycées, la chaîne France 5 présentait un épisode de son émission La fabrique du mensonge, consacré à ce sujet. Nous avons donc décidé de visionner et de commenter ce reportage, disponible en replay jusqu’au 13 novembre 2025, et éventuellement d’apporter quelques compléments ou modifications à ce que nous avions écrit dans notre podcast. 
   Le titre de cette série d’émissions, La fabrique du mensonge, est déjà en lui-même troublant. Contrairement à ses consœurs Complément d’enquête, ou Cash investigation, qui, par les mots employés, semblent annoncer un processus d’observation des faits sous différents angles, nous sommes ici d’emblée dans l’affirmation directe que va nous être présentée la Vérité, avec pour corollaire le fait que les opinions contraires sont construites sur des mensonges. 
  Les premières paroles du nouveau présentateur, Thomas Snégaroff, sont d’ailleurs claires. Le reportage ne sera pas une confrontation des différentes approches du problème, mais une condamnation radicale des fake news, pressions et violences de la part des franges les plus conservatrices. Autant dire que ça commence mal. Mais cela ne nous surprend guère, puisque, depuis la sombre période Covid, nous sommes habitués à voir disparaître de plus en plus les débats contradictoires, aussi bien à la radio qu’à la télévision. 
   Dans un premier temps, acceptons donc cette proposition telle qu’elle nous est offerte. 
  Afin d’apporter un ressenti aussi objectif que possible, je me suis placé dans la peau d’un parent de trois enfants, supposant que l’un est en primaire, le deuxième au collège et le troisième au lycée. Dans cette situation hypothétique, il se trouve que, à l’image de nombreux autres mères ou pères, je suis inquiet d’entendre sur les réseaux sociaux ou sur nombre de médias alternatifs, des informations troublantes sur le programme d’éducation à la sexualité qui va devenir obligatoire dès la rentrée 2025. J’attends donc de cette émission beaucoup d’éclaircissements et d’informations sourcées, afin de me faire une opinion la plus juste possible de ce sujet capital. 
   Au bout d’une heure trente de visionnage, suis-je détrompé, instruit, rassuré ? La réponse est clairement : NON ! Nous allons vous donner les raisons de cette déception. 
   Le principe de l’émission est de présenter en première partie un documentaire d’une heure environ, puis de commenter le sujet avec plusieurs intervenants. Dans le cas présent, il s’agissait d’Aurore Bergé, ministre chargée de l’égalité hommes femmes, de Maëlle Challan-Belval, présidente de l’organisme de formation Comitys, et de Thérèse Hargot, sexologue belge, spécialiste des ravages causés par  la pornographie. 
   Intéressons-nous d’abord au documentaire présenté en première partie. Il est centré sur un historique des mouvements contestataires qui ont commencé en Belgique il y a deux ans, avec pour cible la loi Evras. Ils se sont amplifiés lorsque la ministre belge de l’éducation, Caroline Désir, a présenté aux parlementaires son texte sur l’éducation à la sexualité. Des personnes comme Élise Malengreau, Radya Oulebsir, sont devenues les figures de proue, souvent virulentes, parfois violentes, de cette opposition au projet de loi. L’incendie de huit écoles belges a hélas concrétisé cette hargne d’une frange de la population, même si les auteurs n’ont pas été appréhendés, et que rien ne prouve à cette heure que les coupables appartiennent aux mouvements contestataires. 
   Le film décrit ensuite la contagion de cette vindicte à la France, initiée par le rappeur Rohff, puis développée au fil des mois au sein de divers mouvements, tels Parents en colère, Parents vigilants, Mamans louves… Il est bon de rappeler que, depuis 2001, trois séances annuelles d’éducation à la sexualité étaient en théorie prévues. Mais, dans les faits, elles n’ont été appliquées que dans un pourcentage très faible d’établissements, car le flou qui entourait leur contenu n’encourageait guère les enseignants à appliquer ces consignes. 
   Un second essai avait eu lieu avec les ABCD de l’égalité, présentés par Najat Vallaud-Belkacem, alors ministre du droit des femmes, à partir de la rentrée 2013. Mais une opposition, surtout menée par une enseignante, Farida Belghoul, avait conduit à des journées de retrait de l’école, préludes à l’abandon de ce projet. 
  En septembre 2023, le mouvement de contestation belge contamine donc la France. Le documentaire insiste sur l’agressivité des figures de proue des divers mouvements, ainsi que sur les fake-news propagées au sujet des programmes censés voir le jour de façon obligatoire en 2025. Bien sûr, la présentation de quelques dizaines de secondes de vidéos qui montrent des excités virulents n’est pas de nature à redorer le blason d’une opposition présentée comme brute de décoffrage, adepte des visions déformées, voire mensongères. Mais, si cette présentation des contestataires est clairement orientée vers une décrédibilisation des condamnations qu’ils portent, une première question importante se pose.  
  Est-ce faire œuvre de journaliste et de transmetteur de vérités que de supprimer purement et simplement les interventions de spécialistes dont les considérations sensées n’auraient rien à voir avec les vociférations de tiktokers belliqueux ? Le film donne clairement l’impression que toutes les oppositions qui se sont développées alors, étaient, soit purement politiques ou religieuses, soit orchestrées par des simplets menteurs en mal de visibilité sur les réseaux sociaux. Or il s’agit là d’une omission grave. Nombre de psychologues ont exprimé leurs craintes au sujet du déploiement de cet enseignement à la sexualité. Pourquoi ne pas avoir interviewé ou simplement mentionné Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne ? Pourquoi ne pas avoir fait de même avec Ariane Bilheran, docteure en psychopathologie, qui s’inquiète à juste titre de la sexualisation précoce des enfants, préconisée, entre autres organismes, par l’OMS ? Pourquoi n’est-il pas fait mention de la quarantaine de psychiatres et psychologues qui, en 2022, s’opposaient à la nouvelle éducation sexuelle à l’école ? Pourquoi n’est-il pas fait mention d’ouvrages comme par exemple La fabrique de l’enfant-transgenre de Céline Masson et Caroline Eliacheff ? Le documentaire nous informe juste que Sophie Audugé, spécialistes des pratiques éducatives, et présidente de SOS éducation, a interdit, par l’intermédiaire de son avocat, la diffusion de son interview. Nous serions curieux de connaître la raison de cette demande.  
  Deuxième point important. Selon les auteurs du film, la désinformation gangrène toutes les affirmations des opposants à ce projet de loi. Mais cette désinformation concerne-t-elle seulement les contestataires ? Prenons un exemple édifiant. Il est fait mention, durant quelques secondes, de SOS éducation. À notre connaissance, il s’agit de l’un des organismes dont les références factuelles sont les plus développées. Il est donc plus qu’étonnant de constater qu’une impasse totale est faite sur ces enquêtes. Dans le quatrième épisode de ce podcast, nous avons rapporté plusieurs observations transmises par cet organisme, concernant diverses interventions qui ont, ou auraient été faites au sein d’établissements français. Dans chacun de ces nombreux rapports, sont mentionnés : la date de l’intervention, le département de l’établissement, le statut des intervenants, les adultes présents, le contenu des propos, les réactions des enfants, la démarche des parents, la réaction de l’établissement. Est-ce à dire que chacune de ces fiches est une pure affabulation ? Cela semble difficile à croire, et mériterait en tout cas, un sérieux examen. Or pas un mot n’est dit sur ce sujet. Ce qui est sûr, c’est que si ces retransmissions de séances sont véridiques, on comprend l’inquiétude d’un grand nombre de parents. Et il est tout à fait contraire à l’établissement de la vérité de passer sous silence ce genre de rapport. Et sans vouloir faire preuve d’un esprit tendancieux, on peut estimer que si les témoignages de SOS Éducation étaient faux, le reportage n’aurait pas manqué de le souligner.
  Il est intéressant de s’arrêter un instant sur le hiatus qui a opposé, fin novembre 2024, Anne Genetet, ministre de l’éducation nationale à son ministre délégué, Alexandre Portier, chargé de la réussite scolaire. Celui-ci, lors d’un débat au Sénat, avait demandé le retrait de la théorie du genre du programme gouvernemental. Or, le lendemain, sa ministre l’avait recadré en insistant sur le fait que L’école de la République, c’est une école dans laquelle il n’y a pas d’idéologie, ce programme n’a pas d’idéologie. La théorie du genre n’existe pas, elle n’existe pas non plus dans ce programme. Tout cela n’est pas très clair pour le commun des mortels, et ce genre de contradiction n’est pas fait pour éclairer les esprits troublés. 
   Quelles sont les conclusions qu’un parent lambda peut établir après la vision de ce documentaire ? 

  • Est-il informé sur l’historique de cette levée de boucliers ? Oui, mais reconnaissons qu'il n'en a pas grand-chose à faire, et que cela intéresse principalement les férus de sociologie, d’histoire et de mouvements contestataires. 
  • Est-il capable de se faire une opinion valable sur la justesse des craintes qui l’agitent ? Ayant été confronté durant quatre-vingt dix minutes à une orientation unique des propos, cela paraît impossible. 
  • Est-il clairement informé du contenu de ce qui va être présenté à ses trois enfants ? Là, c’est un NON catégorique. 

   Autant dire que le bilan d’une telle émission est, sur le fond, médiocre pour ne pas dire nul, et sur la forme profondément tendancieux. Peu surprenant de la part d’une chaîne du service public, mais inquiétant.  
    Qu’en est-il du mini débat qui a suivi ce pseudo documentaire ?  
  D’emblée, nous sommes informés que deux des intervenantes sont en accord parfait sur le sujet. Aurore Bergé défend avec fougue ce qu’elle considère comme un enseignement indispensable sur l’intégrité du corps afin d’assurer la protection des enfants contre les atteintes sexuelles. Quant à Maëlle Challan-Belval, en tant que présidente d’un organisme de formation des intervenants, elle est en première ligne dans cette mission d’éducation.  
   Le cas de la sexologue belge Thérèse Hargot était plus ambigu, puisqu’elle se reconnaît elle-même catholique et taxée par certains, à tort, d'une proximité avec  l’extrême droite. Notons que, grâce à elle, nous avons eu un court moment, à mon sens assez jouissif, que certains spectateurs auront peut-être observé. À une question du présentateur, elle commence par répondre que le complotisme, mot devenu très à la mode pour définir ce qui n’est pas conforme à l’idéologie dominatrice, est présent aussi bien chez les opposants que chez les tenants du projet. Et là, durant quelques secondes, on a pu voir le regard de Thomas Snégaroff se remplir d’angoisse. Qu’allait-elle sortir ? N’allait-elle pas foutre en l’air la magnifique harmonie de pensée qui régnait dans le studio ? En fait, ses craintes étaient infondées. Mais ces instants étaient emblématiques de l’uniformité de pensée obligatoire qui règne désormais dans les médias mainstream. 
   Revenons-en au contenu de ce débat. Les trois intervenantes étaient en accord sur plusieurs points : 

   • Jusqu’à présent, les tentatives d’éducation à la sexualité avaient l’immense handicap d’être floues. 
   • Il est éventuellement judicieux d’adapter l’enseignement à la spécificité de certaines écoles privées. 
  • Et, point particulièrement délicat, il est indispensable de faire appel à des intervenants soigneusement formés, afin qu’aucune dérive ne vienne entacher ce projet ambitieux. En particulier, il s’agit de permettre une réflexion chez les auditeurs, et non de les formater. 
   • Il est donc indispensable d’apporter aux parents une information claire, juste, de ce qui va être transmis à leurs enfants. 

   Ce sont là des souhaits louables. Tout humain sensé ne peut qu'encourager tous les projets qui ont pour but de faire disparaître un jour les violences subies par les femmes de la part de machos décérébrés ou d’extrémistes religieux. Et bien sûr d’éradiquer le plus possible la pédocriminalité, qui est un fléau dont nombre de personnes sous-estiment la nuisance. 
   Mais le but premier du parent qui regarde cette émission est-il atteint au terme de ces trente minutes d’interventions ? En l’occurrence être rassuré sur ce qui va être transmis à ses enfants à la rentrée de septembre ? La réponse est hélas : pas du tout
   Qu’avons-nous appris dans cette production de France 5 ?
 
   • Que les opposants à ces projets de loi sont des complotistes menteurs, abrutis et parfois violents. 
  • Que le projet EVARS (éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité) est désormais adopté à l’unanimité le 30 janvier 2025 par le Conseil supérieur de l’éducation.  
  • Que l’application va se faire dès la rentrée de septembre 2025, avec des contenus graduels suivant les âges, et que tout va bien se passer. 
    • Que tout est conçu pour le bien des enfants et des adolescents.
 
   Parfait. Mais lorsqu’on constate tout ce qui a été fait depuis deux décennies pour le prétendu bien de l’hôpital public où les malades meurent dans les services d’urgences, où les maternités ferment les unes après les autres, lorsqu’on contemple les spectacles pervers qui sont promus par le gouvernement pour des évènements sportifs mondiaux comme les Jeux Olympiques, il est possible, sans être complotiste, de douter de ces prétendues bonnes intentions, et de comprendre l’inquiétude de nombreux parents quant à ce qui va être transmis à leurs enfants.

   D’autant plus qu’au sortir de cette émission, nulle information n’a été donnée sur les contenus de ces enseignements, ni sur la manière d’y avoir accès, ce qui aurait tout de même été le minimum requis. Nous avons donc cherché par nous-mêmes les éléments disponibles sur le site Comitys, dont Maëlle Challan-Belval est présidente. Divers modules sont consultables, par exemple : Consentir ou céder, parler de prostitution, comment séduire une fille, est-ce que je dois faire ça ?, mal dans sa peau… Des sujets très importants, certes, mais il ne s’agit pas du programme officiel tel qu’envisagé pour la rentrée. Dans sa page, Séances pour les enfants, le site mentionne 10741 jeunes rencontrés, 745 séances proposées, 11 départements visités. Il s’agit donc d'interventions marginales, sans relation directe avec le projet gouvernemental. 
  Un autre organisme, juste mentionné dans l’émission en tant qu’initiative privée de Sébastien Brochot, est Edsens. Son but est apparemment le même que celui de Comitys, à savoir un programme permettant d’aider les enfants et les adolescents à développer leurs compétences psychosociales et leurs connaissances, de 2 à 18 ans. Le site précise que le contenu des cahiers et des séances est conforme au nouveau programme de l’éducation nationale (paru en mars 2024). Les programmes Edsens des enseignements destinés à la maternelle, en primaire, collège, lycée sont disponibles, mais au prix de 39 € chacun ! S’agit-il des sujets précis qui seront abordés dans le plan gouvernemental ? Sans doute, mais alors pourquoi l’émission n’en a-t-elle pas parlé, et pourquoi ce contenu n'est-il pas rendu public ? Qui plus est, une nouvelle version de ce projet a été présenté fin janvier 2025. De quelle nature sont les changements apportés ? Nous l'ignorons. Pas clair, tout cela… 
   En fait, pour avoir un aperçu des contenus censés être les plus à jour, le parent doit faire appel à Google. Nous avons tapé en recherche : éducation à la sexualité + programme. Nous sommes arrivés sur une page officielle, qui redirige vers divers documents PDF qui listent les différents sujets abordés suivant les classes. Pour les personnes qui liront l’article sur notre site imagesetmots.fr, dans la rubrique podcast, nous avons mis en lien deux exemples, l’un concernant la maternelle, l’autre l’école élémentaire. Le moins que l‘on pouvait attendre de l’émission aurait été de donner des informations précises sur la manière d’avoir une vue authentique des contenus qui seront dispensés.
   En dernière minute nous avons découvert un autre site gouvernemental, Éduscol, sur lequel on peut facilement télécharger le programme, apparemment complet, de l’enseignement prévu à la rentrée de septembre. Vous pouvez le télécharger aussi ici
  Examinons un instant l’un des programmes transmis au CE2, c’est-à-dire pour des enfants de huit ans environ, et qui est un des points les plus mis en exergue par les concepteurs du projet. Il s’agit de l’apprentissage du fait de dire oui ou non. C’est effectivement un sujet crucial. Mais il n’est pas nécessaire d’être clairvoyant pour comprendre que cette sensibilisation ne sera utile que dans deux circonstances. Celle où deux enfants du même âge sont confrontés à un choix relationnel entre eux, et celle d’un adulte qui aura intégré cette notion de respect mutuel dans son comportement sexuel ou amoureux. Quant au malheureux enfant devenu proie d’un prédateur, il aura beau avoir appris à dire non, la puissance physique et morale de l’adulte n’aura que faire de la volonté de sa victime. En revanche, l’une des interlocutrices, je ne me souviens plus laquelle, a soulevé un intérêt important lié à cet apprentissage du oui et non. En l’occurrence la déculpabilisation de l’enfant qui, souvent, peut avoir intégré à tort qu’il était en partie provocateur de l’agression. 
  Sur un sujet très proche, soulignons l’intervention de la sexologue Thérèse Hargot, qui a insisté de façon judicieuse sur le fait de prendre conscience que le non consentement mental et émotionnel peut sembler en opposition avec une manifestation physique d’excitation sexuelle incontrôlable. Il est donc capital de prendre conscience que cette pulsion physique instinctive n’a rien d’une acceptation, confusion qui serait susceptible de provoquer chez la victime une culpabilisation qui n’a en aucun cas lieu d’être.
  
   En conclusion, disons que cette émission en elle-même, partisane et génératrice d’informations à sens unique, n’apporte strictement aucun élément capable d’éclairer les parents inquiets sur les sujets de leurs troubles, mais que son seul mérite est de pousser ceux-ci à rechercher par eux-mêmes les réponses à leurs questionnements. Nous invitons donc vivement les parents à consulter le site gouvernemental sur lequel sont détaillés les programmes. 
 
  Février 2025
 Bernard SELLIER