Nouvelles données sur le covid, rions un peu..., Bernard Sellier

  Bienvenue sur le site d'un manipulateur de mots, passionné d'écriture, de cinéma, de musique, d'ésotérisme...     
Réflexions sur le monde de demain que nous bâtissons aujourd'hui...
   Vous trouverez dans cette rubrique des informations succinctes concernant divers domaines qui préparent notre avenir, celui de nos descendants, et... le nôtre si nous considérons que la réincarnation est réelle. Il ne s'agit bien sûr pas de développer des théories scientifiques ni même d'analyser des données qui échappent à nos cerveaux d'humain lambda ! Il s'agit simplement, à travers des anecdotes, livres ou articles, de réfléchir sur ce que la «science» nous prépare et de ne pas assister, totalement passifs, à la fabrication, par quelques puissances chez lesquelles le mot «désintéressement» n'existe pas, d'une terre à leur convenance financière.  
Nouvelles données sur le Covid ? Rions (jaune) un peu...

      Article publié sur AGORAVOX
   
      
Il ne fait guère de doute que les déclarations et nouvelles contraintes assénées lundi dernier (12/07/2021) par le Chef de l’État ont stupéfié un grand nombre de Français. Même si, comme l’exprime de manière fort humoristique Mado la Niçoise, il te monte une grosse bouffaïsse, à l’écoute de ces diktats imposés de manière autoritaire et sans aucune concertation, il est tout de même possible, voire souhaitable, de s’esbaudir un tantinet en découvrant les déductions possibles que l’on peut tirer de ces mesures sanitaires censées garantir notre survie.
 
    Avant de dévoiler les nouvelles caractéristiques du virus qui découlent logiquement des mesures qui seront (peut-être) appliquées le 21 juillet puis le 1er août, se pose la question du pourquoi. Pourquoi, de manière aussi soudaine, le Président, jusque-là relativement modéré au point, quelquefois, de minorer les recommandations de la Haute Autorité de santé, est-il tombé à pieds joints dans le radicalisme et le jusqu’au-boutisme brutal ? Une réponse s’impose au premier abord. Le désir d’accélérer coûte que coûte la vaccination des Français. Pas question sans doute de réitérer la gabegie retentissante de 2009, avec ses millions de doses de vaccin contre le H1N1, achetées par Roselyne Bachelot, et qui n’ont servi à rien.  

    À ce jour, cinquante-cinq pour cent environ de nos compatriotes ont franchi le pas et reçu une ou deux doses de vaccin. Ils sont aisément identifiables, et peuvent être groupés en quatre grandes catégories : 

 • Celles et ceux qui sont convaincus que les recommandations de la Haute Autorité de Santé sont justes et efficaces. 
 • Celles et ceux qui ont cédé à la peur savamment orchestrée durant un an et demi par la plupart des médias. 
 • Celles et ceux qui sont, hélas, contraints par leur profession d’obéir sans possibilité de récrimination. 
 • Enfin celles et ceux qui ne supportent pas l’idée de se priver des plaisirs gustatifs ou culturels. Ce qui est fort compréhensible. 

    Mais il reste néanmoins près de 4 Français sur 10 qui, au minimum, se posent des questions essentielles sur ce processus en forme de rouleau compresseur, et, pour un certain nombre non négligeable d’entre eux, sont opposés à lui. Notre but n’est pas ici d’entrer dans une polémique largement étalée sur certains réseaux sociaux. Nous rappellerons simplement quelques interrogations simples et judicieuses qu’il est impossible de balayer d’un revers de main dédaigneux : 

 • La vaccination est-elle l’unique moyen de sortir l’humanité de cette crise sanitaire ? Pour les autorités, c’est une certitude. L’avenir nous le dira, mais les données récentes issues d’Israël laissent planer un doute non négligeable. 

 • Est-il acceptable que des vaccins en phase d’étude (jusqu’en mai 2023 pour le Pfizer, par exemple), avec une AMM provisoire (autorisation de mise sur le marché), soient déployés sur des milliards de personnes sans aucun recul sur les effets négatifs possibles à moyen terme ? Ne parlons même pas du long terme qui échappe totalement à nos prévisions. Si le taux de létalité du Covid était celui du virus Ebola (50% en moyenne et jusqu’à 90% lors de certaines poussées), la question ne se poserait même pas. Mais, heureusement, nous sommes très loin de ces valeurs et chacun sait que la mortalité touche de façon ultra majoritaire les personnes très âgées ou déjà atteintes de pathologies importantes. La question peut donc être posée de manière légitime. 

 • Est-il sensé de vacciner toute la population, y compris les enfants qui, à l’évidence, ne sont pratiquement pas atteints par le virus ? Des scientifiques tels Christian Vélot, maître de conférences en génétique moléculaire à l’Université Paris-Sud, explique pourquoi cela peut être dangereux. Il est possible qu’il se trompe, mais ses explications ont le mérite de poser sur la table un problème majeur. 

 • Est-il même légal d’interdire à une portion de la population l’accès à certains lieux ou services, alors que la situation sanitaire ne semble aucunement l’imposer ? Le devenir des recours déposés au Conseil d’État nous le précisera bientôt. 

 • Est-il normal que les médecins aient reçu l’interdiction de prescrire des médicaments connus depuis des décennies et qui sont largement utilisés dans le monde ?  

    Bref… Toutes ces interrogations et beaucoup d’autres nécessitent des réponses infiniment plus détaillées et scientifiques que les traditionnels : «tout va bien», «aucun danger», «la panacée est là», délivrés de façon méprisante aux ignares que nous sommes.  

    Ces quelques généralités rappelées, examinons les données nouvelles que le discours du Chef de l’État nous offre concernant le virus.  

    Prenons un exemple : le cas de madame Dupont. Elle n’est pas encore vaccinée à ce jour. Peu importe la raison pour laquelle cela est. 

 → À partir du 1er août, madame Dupont pourra toujours prendre le métro ou le RER pour aller travailler ou se promener au bois de Vincennes, mais elle n’aura plus le droit de s’asseoir à la terrasse de son café préféré pour faire une pause.  

    Nous pouvons déjà tirer certaines conclusions de ce simple fait. Tout d’abord, le virus du Covid ne supporte pas l’air nauséabond et pollué des souterrains, mais adore le grand air des boulevards. En effet, elle aura le droit de s’entasser avec une multitude d’autres voyageurs dans un wagon, se tiendra à cinq centimètres de son voisin de transport, mais n’aura pas le droit de s’asseoir à deux mètres de la table voisine. C’est une découverte nouvelle et intéressante, puisqu’elle va à l’encontre des anciennes observations et recommandations, qui accroissaient les libertés lorsque nous étions au grand air.  

    Ensuite, nous découvrons que madame Dupont, véhiculée sans restriction au milieu de centaines de personnes, n’aura plus le droit d’entrer dans le bureau où elle travaille seule, si son entreprise est soumise à l’obligation du vaccin. Étonnant, n’est-il pas ? 

    La même situation se reproduit si le but de son déplacement est une salle de théâtre. Après avoir passé une heure dans la promiscuité du wagon et aspiré les miasmes de ses voisins, elle se verra refuser le siège solitaire qui est séparé de celui de son voisin par une distance confortable.  

    Nous pouvons déduire de ces données que le virus, allergique à l’atmosphère oppressante du métro, adore les lieux de culture. Tout comme il ne faisait aucune différence entre la qualité des restaurants qu’il infeste (tables de Pierre Gagnaire, de Mauro Colagreco, ou celles des KFC et McDo du coin, même appétance !), ce virus déconcertant apprécie autant Feydeau qu’Éric-Emmanuel Schmitt ou encore Julia Ducournau. Son éclectisme est pour le moins dérangeant.  

    Dans le cas, très malheureux, où madame Dupont est infirmière, son sort devient alors carrément cauchemardesque. Au plus fort des pics pandémiques, alors qu’elle était privée de masques et de protections minimales, elle était applaudie pour son service altruiste aussi indispensable qu’épuisant. Désormais, alors que la majorité de la population et de ses collègues est vaccinée, que les caractéristiques du virus sont mieux connues, elle se verra fermer l’accès à sa fonction et sera privée de salaire !  

    Madame Dupont n’aura pas davantage le droit de se rendre en TGV à Nantes pour voir ses petits-enfants. Il est évident que le fait de s’asseoir dans un siège sans bouger est infiniment plus dangereux que d’avoir le visage collé contre le nez de son voisin de transport en commun. Reconnaissons humblement que pour nous, simples mortels ignares, l’évidence échappe un peu. Mais, par bonheur, nos énarques sont là pour nous rappeler les certitudes qui se situent au-delà de nos capacités de compréhension. Là encore, nous obtenons des informations enrichissantes sur les goûts du virus pour se propager. Il privilégie nettement les déplacements rapides et confortables.
 
    Nous voyons donc que, grâce à notre guide élyséen, d’importantes précisions ont été apportées à notre connaissance du Covid 19. Des données qui, à l’évidence, étaient inconnues du professeur Raoult, de Christian Perronne, et de tous les spécialistes qui se sont rangés, involontairement, dans la catégorie des complotistes infréquentables et inécoutables. Sommes-nous au bout de nos surprises et de nos découvertes ? C’est hélas peu probable. Mais souhaitons de tout cœur qu’elles s’orientent de nouveau dans le sens de la vraie connaissance, de la droiture, de la sagesse et de l’humanité.