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«Le degré de spiritualité n'a rien à voir avec ce en quoi vous croyez,  mais tout à voir avec votre état de conscience.»   Eckhart TOLLE 

                                                                
  Louis-Claude de SAINT MARTIN  


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« J'ai désiré faire le bien mais je n'ai pas désiré faire du bruit, parce que j'ai senti que le bruit ne faisait pas de bien et que le bien ne faisait pas de bruit. »


Ses textes sur le site « Pure Conscience » :

   
  Le texte ci-dessous est un extrait de la page qui lui est consacrée sur le site Universalis.             

  « 
Né à Amboise, issu de la petite noblesse, Louis Claude de Saint-Martin, d'abord étudiant en droit, obtint en 1765 un brevet de sous-lieutenant au régiment de Foix alors stationné à Bordeaux. Le théosophe thaumaturge Martines de Pasqually (vers 1710-1774), dont la doctrine se présentait comme la clef de toute théosophie judéo-chrétienne, s'était établi l'année précédente en cette ville. Il avait fondé vers 1754 un ordre des élus cohens (prêtres élus) au sein duquel il enseignait les opérations théurgiques, inséparables de cette doctrine même, destinées à faire apparaître les esprits angéliques. Saint-Martin fut admis dès 1765 dans cet ordre dont l'enseignement et les rites lui fournirent définitivement l'essentiel de sa philosophie et les thèmes principaux qu'il ne cessa de développer dans toutes ses œuvres. Il quitta l'armée en 1771 pour se consacrer à sa vocation et fut le secrétaire de Martines pendant plusieurs mois. 
 
 En 1773 et 1774, il demeura à Lyon chez Jean-Baptiste Willermoz (1730-1824). Cet autre disciple de Martines fonda en 1778 la franc-maçonnerie « rectifiée », dans laquelle il allait faire passer l'essentiel de la théosophie martinésiste. Au cours de ce séjour chez Willermoz, Saint-Martin rédigea son premier ouvrage, Des erreurs et de la vérité, ou les Hommes rappelés aux principes de la science. Quand parut ce livre, en 1775, l'auteur se trouvait à Paris et devint déjà le « Philosophe inconnu » qu'il allait rester pour la postérité. 
 
 Le Tableau naturel des rapports qui unissent Dieu, l'homme et l'univers (1782) reprend et prolonge les enseignements des Erreurs... Dès cette époque, Saint-Martin se détache des voies actives de la magie pour s'orienter dans une direction de plus en plus « intérieure » ; il se défie même de la franc-maçonnerie, malgré une appartenance de courte durée au rite rectifié de Willermoz. Le séjour de Saint-Martin à Strasbourg (1788-1791) peut être considéré comme un événement historique : il y rencontre en effet Mme de Böcklin qui lui révèle la philosophie de Jakob Böhme (1575-1624)....
 »

            À suivre...

Pure Conscience, guides et enseignants spirituels, Louis-Claude de SAINT MARTIN