Poème (Cinérime) inspiré du film : « Les anges gardiens » de Jean-Marie Poiré
Avertissement : il peut être préférable d'avoir vu le film avant de lire le poème...
Hier, j'étais truand, Mais je me suis rangé Des voitures, pourtant, Me voici propulsé Dans une folle histoire, D'enfant abandonné, Et de bandits notoires, Orientaux, qui plus est !
Les balles des pétoires, Sifflent à mes oreilles. Je fuis sans trop savoir, Comment cacher l'oseille, Qu'un vieux copain défunt, M'a gentiment léguée, Sans me mettre au parfum, Des tuiles associées !
Les balles des pétoires, Sifflent à mes oreilles. Je fuis sans trop savoir, Comment cacher l'oseille, Qu'un vieux copain défunt, M'a gentiment léguée, Sans me mettre au parfum, Des tuiles associées !
En sus de la prêtrise, Il pratique souvent, Maladresse et bêtise, Comme un vulgaire gland. Qualité naturelle, Qui me permet enfin, De cacher mon butin, Dans son divin missel.