Croissez, multipliez, cinérime inspirée du film Mes doubles, ma femme et moi
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Croissez, multipliez...
Poème (Cinérime) inspiré du film : «Mes doubles, ma femme et moi» de Harold Ramis
Avertissement : il peut être préférable d'avoir vu le film avant de lire le poème...
Avertissement : il peut être préférable d'avoir vu le film avant de lire le poème...
Pourquoi, par Jupiter, un jour ne contient-il,
Que quatre vingt six mille quatre cents secondes ?
Si, de ce total, vous déduisez l'inutile,
A savoir le sommeil, période inféconde,
Que quatre vingt six mille quatre cents secondes ?
Si, de ce total, vous déduisez l'inutile,
A savoir le sommeil, période inféconde,
Il ne vous reste plus que de bien maigres heures,
Pour entasser dans votre agenda qui explose,
Les mille impératifs d'un jeune entrepreneur,
Unis à ceux d'un père... et voilà l'overdose !
Pour entasser dans votre agenda qui explose,
Les mille impératifs d'un jeune entrepreneur,
Unis à ceux d'un père... et voilà l'overdose !
N’abordons même pas le plaisir conjugal,
Puisqu'un emploi du temps garni jusqu'à ras bord,
Etablit dans nos corps un état de fringale,
Tel qu'en pourrait connaître un Diable sexivore !
Puisqu'un emploi du temps garni jusqu'à ras bord,
Etablit dans nos corps un état de fringale,
Tel qu'en pourrait connaître un Diable sexivore !
Par la grâce du Ciel,
Un ami scientifique,
Tutoie l'immatériel,
Et joue du biologique.
À suivre...
