Zero, enquête sur le 11 septembre, film de Franco Fracassi

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Zero, enquête sur le 11 septembre,
      2008, 
 
de : Franco  Fracassi, Francesco  Trento, 
 
  avec : Dario Fo, Steven Jones, David Ray Griffin...,
 
Musique : Alessandro Molinari

 
 
Une enquête documentée, riche, vivante, encore que sa forme soit souvent trop théâtralisée, et passionnante, initiée par Giuletto Chiesa, député européen, sur les attentats du 11 septembre 2001 et les conclusions, pour le moins contestables, de la version officielle. 
 
 À l'image de "Confronting the Evidence", "Loose Change", ce film, téléchargeable sur "Nous les Dieux.org" décortique les différentes phases de l'effondrement des tours jumelles. Avec autant, sinon plus encore de clarté que dans les documentaires précités, nombre d'experts en métallurgie ou en architecture confortent scientifiquement l'impression spontanée de tout observateur objectif, mais non technicien, à savoir que cet effondrement, on devrait même dire cette désintégration, sont physiquement aberrants. Un gratte-ciel de Madrid, qui, en 2005, a brûlé pendant plus de vingt heures sur toute sa hauteur, a conservé sa structure interne intacte. Comment peut-on concevoir qu'au bout de cinquante minutes, avec un incendie limité à quelques étages situés aux deux tiers, les dizaines d'étages se soient empilés les uns sur les autres en dix secondes, sans rencontrer aucune résistance ? Dès lors, la conclusion qu'émet William Christison, un ancien membre de la C.I.A., semble malheureusement plus qu'une hypothèse : "Toutes les caractéristiques de ces effondrements indiquent qu'il s'agit de démolitions contrôlées"... 
 
 Des interrogations surgissent également à propos du crash supposé d'un Boeing 757 sur une aile du Pentagone. Les incohérences évidentes relevées dans la première explication donnée ont d'ailleurs généré des versions ultérieures "adaptées". Quant aux responsabilités des terroristes prétendument identifiés par les autorités, le moins que l'on puisse dire est qu'elles sont bigrement déroutantes... 
 
 Bien sûr, la voix de la raison bloque les velléités d'accusation directe de complicité des autorités américaines. Pourtant, éluder, sur ce seul prétexte, les innombrables questions qui se posent devant les simples relations des faits exposés, serait une lâcheté inacceptable...
   
Bernard Sellier