Réflexions sur la chirurgie transgenre, site Images et Mots

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Quelques réflexions sur la mode de la chirurgie transgenre…
   Vous trouverez dans cette rubrique des informations succinctes concernant divers domaines qui préparent notre avenir, celui de nos descendants, et... le nôtre si nous considérons que la réincarnation est réelle. Il ne s'agit bien sûr pas de développer des théories scientifiques ni même d'analyser des données qui échappent à nos cerveaux d'humain lambda ! Il s'agit simplement, à travers des anecdotes, livres ou articles, de réfléchir sur ce que la «science» nous prépare et de ne pas assister, totalement passifs, à la fabrication, par quelques puissances chez lesquelles le mot «désintéressement» n'existe pas, d'une terre à leur convenance financière.  

  Chacun d’entre nous s’est aperçu que, depuis quelques années, une intense publicité prônant le changement de sexe est présente dans de nombreux médias. Elle a même, depuis peu, envahi certains établissements de l’Éducation Nationale, aussi bien en France qu’à l’étranger. Dans ces lieux, où le but premier est d’acquérir des connaissances culturelles, une telle intrusion d’un domaine qui devrait demeurer dans l’intimité de chacun laisse perplexe, voire inquiet. Plusieurs questions se posent.
  
  • Quelles peuvent donc être les motivations de cet envahissement progressif ? 
  • Quels sont les initiateurs de cette propagande ? 
  • Comment ce prosélytisme peut-il fonctionner avec succès ? 
  • Quelles sont les conséquences sur les personnes les plus vulnérables à cette publicité, en l’occurrence les enfants ? 

  À la première question plusieurs embryons de réponses sont possibles. Il est beaucoup question actuellement du fait que certains membres de l’élite mondiale souhaitent que la population terrestre diminue de manière importante. Il est vrai que nombre de déclarations, semblant prôner cette réalité, ont été détournées de leur contexte pour appuyer cette théorie. C’est le cas, semble-t-il, de celle prononcée au WEF par Albert Bourla, PDG plus que controversé de Pfizer. Il n’en demeure pas moins que des personnalités aussi éminentes que Jacques-Yves Cousteau, qui déclarait en 1991 que : « pour stabiliser la population mondiale, nous devons perdre 350 000 personnes par jour. » (Le Progrès, 9 août 2011), sont favorables à cette diminution du nombre d’humains. De nos jours, l’un des gourous du WEF, Yuval Noah Harari, envisage clairement la dépopulation du monde : 

  « Une fois que vous savez comment produire des corps, des cerveaux et des esprits alors la main d’œuvre bon marché en Afrique ou en Asie du Sud, et où qu’elle soit, ne vaudra tout simplement rien. Encore une fois, il me semble que la plus grande question qui se posera dans les prochaines décennies sur le plan économique et politique, sera quoi faire de toutes ces personnes inutiles »… 
  « Et la grande question politique et économique du XXIe siècle sera de savoir pour quelle raison avons-nous besoin des humains ? Ou du moins, pour quelle raisons avons-nous besoin de tant d’humains ? »
 

  Un spécialiste du transhumanisme, Laurent Alexandre, mentionne clairement dans ses discours le fait qu’il y aura, dans un futur proche, les membres de l’élite, et, en-dessous d’elle, des « inutiles ». 
  Ce désir de voir la population mondiale diminuer de façon importante n’est donc plus une vision de « complotiste », mais un programme enfanté par certains esprits puissants et, ce qui est plus grave encore, décisionnaires. Le souhait de voir l’expression sexuelle des générations futures perturbée en profondeur, n’est-il pas un moyen, parmi d’autres, de diminuer la fertilité des adultes de demain ? C’est d’ailleurs également le but de la promotion de l’homosexualité, qui est un moyen efficace de freiner la procréation. 
  Une seconde motivation réside dans le fait que cette incitation au changement de sexe contribue à la matérialisation grandissante de notre conscience. C’est d’ailleurs l’un des buts exposés encore une fois par Yuval Noah Harari.
  
  « Les êtres humains ne sont finalement que des algorithmes biochimiques et si vous avez suffisamment de données et de puissance de calcul, vous pouvez hacker les algorithmes humains et à ce moment là vous pouvez contrôler et manipuler les gens » 
  « Les humains sont maintenant des animaux piratables. Vous savez l’idée que les humains ont un libre arbitre, [que] quoi que je choisisse dans les élections ou les supermarchés c’est mon libre arbitre : c’est terminé ! Aujourd’hui nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle. Je veux dire tout est numérisé, tout est surveillé, en cette période de crise il faut suivre la science ! »
 

  L’être humain, dans la vision de ces démiurges, devient, dans un avenir proche, un corps con trôlé par l’Intelligence Artificielle. Une fois que les enfants d’aujourd’hui auront été suffisamment influencés pour accepter n’importe quelle modification de leurs corps, il n’y aura plus aucune difficulté, dans quelques décennies, pour qu’ils acceptent de se faire greffer un implant qui prendra les décisions à leur place, et contrôlera leurs existences à 100%.  
Une autre preuve de ce désir de dépeuplement mondial réside dans le fait que l’euthanasie est, elle aussi, devenue un élément de propagande. Vous avez des difficultés dans votre vie, vous êtes malade, triste ? Pas de problème, nous avons une petite piqure pour vous faire disparaître sans douleur ! La désintégration du système de santé est, elle aussi, un facteur favorisant. Lorsque l’hôpital public aura été bradé au privé, et que d’innombrables malades ne pourront plus avoir accès aux soins en raison de leur coût, une frange non négligeable de la population disparaîtra.  
  Il est clair que nombre de propositions que nous voyons fleurir actuellement, présentées comme un bienfait pour toutes celles et tous ceux qui sont mal dans leur peau, est en réalité une manipulation subtile destinée à servir les intérêts et les souhaits de la prétendue élite qui contrôle les gouvernements eux-mêmes. Ce n’est plus un secret que les dirigeants de nombreux pays, dont la France, le Canada, la Nouvelle-Zélande… sont issus des Young Global Leaders, formés à l’école de Klaus Schwab et du WEF (World Economic Forum). 

  Comment cette propagande peut-elle fonctionner ? 

  Plusieurs facteurs favorisent son implantation.  
  L’un des premiers réside dans le fait que, depuis plusieurs décennies, il est progressivement inculqué dans nos esprits, par le biais de « scientifiques » plus ou moins bien intentionnés, que la « Nature » ne sait pas ce qu’elle fait, est parsemée d’erreurs, et qu’il est de notre devoir, humains beaucoup plus intelligents qu’elle, de « corriger » ses aberrations. La terre a créé des merveilles depuis plusieurs milliards d’années, mais heureusement nous sommes arrivés pour pallier ses manquements et ses maladresses ! L’un des exemples les plus flagrants à l’heure actuelle, concerne le climat, que certains esprits supérieurs envisagent de modifier artificiellement, sans avoir la moindre idée des risques qu’ils font courir à la planète et à ses habitants. Un reportage d’Arte, datant de 2015, faisait le point sur « Les apprentis sorciers du climat ».  
  Le processus est le même en ce qui concerne la promulgation du changement de sexe à outrance, et cela, dès le plus jeune âge. La division de l’humanité entre masculin (chromosomes XY) et féminin (chromosomes XX) est bien trop simpliste. La nature nous fait naître avec cet équipement génétique depuis environ trois millions d’années, mais c’est donc une erreur fondamentale de se limiter à cette approche. Nous avons pourtant vécu depuis des milliers d’années, sans traumatisme majeur, avec cette connaissance de notre être physique. Pourquoi donc devient-elle soudain une situation qui devient intolérable, voire contre nature ? Et les incitations, qui se font de plus en plus pressantes, se développent-elles pour l’équilibre de notre bien-être, pour notre santé mentale, ou pour d’autres motivations, beaucoup moins altruistes et humanistes ? Outre le fait, comme nous l’avons vu dans la première partie, que la modification en profondeur de nos corps est un moyen de faire diminuer la procréation, cette nouvelle mode se révèle du pain béni pour toute une frange de la médecine. Les endocrinologues et chirurgiens qui choisiront de profiter d’un engouement aussi important et de se plonger dans une lucrative altération des corps, ne chômeront pas dans l’avenir, si une telle vogue perdure.  
  Mais ce qui semble le plus grave réside dans les conséquences de ces incitations sur les personnes visées ? Elles sont programmées à un âge de plus en plus bas. Dans certaines écoles étrangères, c’est dès l’âge de quatre ans que des personnes censées apporter aux enfants qui leur sont confiés l’apprentissage d’un équilibre et d’un bien-être, entreprennent ce travail de sape d’une personnalité en pleine formation. Il s’accompagne d’ailleurs souvent d’une approche de la sexualité qui est un véritable viol de l’innocence enfantine, et un sabordage violent de l’initiation progressive naturelle propre à chacun. Cette intrusion artificielle d’une révélation brutale de ce qui devrait demeurer une découverte intime et personnelle, est d’ailleurs à mettre en parallèle avec la promotion de la pédophilie, que l’on devrait nommer « pédocriminalité », qui, elle aussi, commence petit à petit à envahir l’enseignement. On a vu tout récemment (début janvier 2023) la police écossaise qualifier les « pédophiles » de « personnes attirées par les mineurs ». Nombre d’exemples apparaissent chaque semaine sur le fait que toute une frange de responsables politiques, juridiques, considère cette déviance criminelle comme un processus normal et naturel. Constater que des esprits aussi brillants que Simone de Beauvoir, Louis Aragon, Bernard Kouchner, Patrice Chéreau, avaient signé une tribune en janvier 1977 pour défendre trois hommes incarcérés pour pédophilie, laisse pantois.
  
  Revenons au sujet du changement de sexe et à ses conséquences. Personne ne peut nier que l’enfance, et surtout l’adolescence, sont des périodes de troubles profonds, et de remises en question importantes. Deux aspects peuvent être pris en compte.
 
  Le premier est purement physique et objectif. Lorsque l’enfant naît, il est, sauf exceptions rarissimes, de sexe féminin ou masculin. L’idéal de tout être humain est de grandir dans ce corps temporaire, en ressentant le plus d’harmonie possible pour cette enveloppe qui l’accueille. Lorsque cette union n’est pas harmonieuse, plusieurs possibilités s’offrent. La plus courante est l’homosexualité, qui existe depuis des millénaires. Hormis dans certains milieux ou pays, elle est désormais admise sans problème. La deuxième ressource, si l’on refuse l’homosexualité ou si elle présente une souffrance insupportable, consiste à opérer un travail sur le psychisme. Celui-ci est en effet malléable par nature, et il semble logique de se tourner vers lui pour réharmoniser une adaptation au corps défectueuse.  
  Pourquoi donc, aujourd’hui, prôner une réorganisation du corps physique, qui ne peut s’opérer que par des mutilations ou reconstructions chirurgicales importantes, et par une refonte complète de l’équilibre hormonal du véhicule physique ? Il n’y a bien sûr pas de réponse unique absolue à cette question, mais plusieurs éléments contribuent à expliquer ce phénomène. De façon paradoxale, l’un des premiers est la peur. Il est en effet étonnant que nombre de personnes éprouvent beaucoup plus de crainte à plonger dans leur inconscient, qu’à confier leurs corps à des chirurgiens qui vont le taillader et le remodeler. Un exemple, un peu en marge du sujet étudié ici, mais éclairant, nous a été fourni il y a quelques années par Angelina Jolie, qui a choisi délibérément de se faire pratiquer une ablation des seins, parce qu’il y avait un risque potentiel supposé de cancer mammaire futur ! Lorsqu’on sait que la peur est un facteur important dans l’apparition de nombreuses maladies, il aurait été logique qu’elle travaille sur cette hantise, afin de minimiser le plus possible son action potentielle sur la genèse d’une cancérisation. Pourtant, elle a choisi la solution mutilante radicale !  
  À cette peur, s’ajoute la facilité. Entreprendre un travail psychique demande une implication intérieure importante et parfois longue, même si des thérapies brèves efficaces sont utilisées depuis quelques années. Confier son corps à la chirurgie et à l’ingestion de produits chimiques permet de se décharger de tout investissement personnel, même si les conséquences physiques subies ne sont pas des plus aisées à supporter.
 
  Le second aspect aborde un domaine spirituel, et se montre donc tout à fait subjectif. Il ne concerne que les personnes ayant pris conscience que leur être ne se résume pas seulement à un corps physique, dépourvu de tout lien avec l’avant naissance et l’après décès. 
  Ce que l’on appelle l’âme est un élément dépourvu de sexe. Lorsqu’elle s’incarne dans un corps physique, véhicule temporaire destiné à lui permettre une évolution dans le monde de la manifestation matérielle, celui-ci est déterminé dans ses caractéristiques (sexe, psychisme, intellect…), par les besoins de cette âme pour parfaire son avancement durant le parcours d’une vie. L’analogie avec l’entrée d’un élève dans une classe est souvent utilisée pour illustrer ce processus. Cette vision du but de la vie est à l’évidence en contradiction totale avec le fait de considérer que tout est hasard et dépourvu de but. 
  Pour les besoins de son évolution, l’âme s’incarne donc dans le véhicule corporel le plus adapté à l’apprentissage qu’elle doit opérer durant la vie qui se présente devant elle. Que se passe-t-il lorsqu’il y a un désir fondamental de changer la caractéristique fondamentale de cette enveloppe charnelle ? Est-il possible de le voir autrement que comme un refus de l’opportunité que nous offre la Vie, d’expérimenter ce qui est utile à notre évolution ? L’immense majorité des êtres humains n’a pas conscience de cette situation, et considère que ce changement désiré ne peut être que positif et dépourvu de toute conséquence néfaste, puisqu’il résout, dans l’immédiat, un problème généré uniquement par une erreur de la Nature. Mais cette ignorance des causes sous-jacentes n’est-elle pas nuisible, sur les plans subtils, à l’évolution de l’âme ? Prenons deux exemples concrets. 
  Un soldat est mort dans des conditions terribles lors d’une guerre. Lorsque son âme se réincarne dans un nouveau corps masculin, et que le traumatisme de la vie passée est toujours vif dans sa conscience, il va peut-être refuser ce véhicule corporel, habité qu’il est par une peur panique d’avoir à revivre les horreurs de jadis. Et c’est tout à fait compréhensible. En revanche, en décidant de devenir femme, afin d’échapper au sort redouté, il refuse l’opportunité de surmonter sa peur, et de découvrir qu’une vie d’homme n’est pas forcément liée à la violence et à la guerre. 
  Une jeune femme a vécu des agressions sexuelles et son existence a été bouleversée par les violences criminelles subies. Lorsque son âme se retrouve à nouveau dans un corps féminin, la hantise de revivre les mêmes supplices est si vive que l’unique solution paraît être de changer de sexe. Là encore, il s’agit d’une fuite devant l’expérience offerte de comprendre que l’existence, en tant que femme, n’est pas forcément synonyme d’agression et de domination subies. 
  Dans ces exemples, qui paraissent simplistes, mais n’en sont pas moins réalistes, deux solutions se présentent pour fuir le traumatisme. Soit changer de corps, soit travailler sur l’inconscient, en lui faisant comprendre que le présent ne sera pas une photocopie du passé. Le handicap majeur de la première option est que l’expérience dont l’âme a besoin est court-circuitée, refusée, avec le risque, comme c’est le cas pour les suicides, qu’une même situation se représente à nouveau dans la vie suivante, puisque la connaissance n’a pas été acquise.  
  Toutes ces réflexions sur un sujet important pour l’évolution de notre civilisation, n’ont bien sûr de valeur que pour les personnes concernées, et surtout susceptibles de se poser les bonnes questions au moment où l’esprit envisage un changement radical du véhicule physique. Il est donc gravissime de voir des enseignants, responsables de la santé mentale des enfants qui leur sont confiés, aborder ce genre de sujet très marginal à un âge où le cerveau est incapable d’afficher la moindre maturité pour avoir une conscience claire du trouble supposé et de ses pseudo solutions. Une telle induction de questionnements artificiels, dans des esprits en commencement de maturation, peut même être qualifiée de criminelle.