Poème (Cinérime) inspiré du film : « Les misérables » de Claude Lelouch
Avertissement : il peut être préférable d'avoir vu le film avant de lire le poème...
Oyez tous, braves gens, cette émouvante histoire : Le parcours de ma vie, Henri Fortin, boxeur. Elle est grise toujours, souvent drapée de noir, Combat du vermisseau contre un destin rageur !
Si vous sentez parfois, au détour d'une page, Le relent douloureux d'un hugolien récit, Ne criez pas, de grâce, à l'indigne mirage. Dieu ne se montre pas avare en facéties !
Les embruns de la mer étaient le seul parfum, Qui donnait à ma vie le goût de l'espérance. Une mère transie par son amour défunt, Partout le sot mépris, la morne indifférence.