Images et Mots
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passionné d'écriture, de cinéma, de musique, d'ésotérisme...
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" Dr. House ", Saison 6, 2009
de : Bryan Singer, Greg Yaitanes...,
avec : Hugh Laurie, Robert Sean Leonard, Lisa Edelstein,
Jesse Spencer, Jennifer Morrison, Robin Tunney, Omar Epps,
Musique : Jason Derlatka, Jon Ehrlich
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Le docteur House (Hugh Laurie) est entré volontairement à l'hôpital psychiatrique de Mayfield, suite aux diverses hallucinations dont il était victime dans la saison précédente. Il tente quelques manipulations dont il a le secret, mais celles-ci ne fonctionnent pas très bien. Il tombe amoureux de Lydia (Franka Potente), mais la jeune femme suit son mari en Arizona. House reçoit enfin la permission de quitter l'établissement...
Deux épisodes d'ouverture insolites et captivants, un épisode 4 à l'intensité humaine et dramatique majeure. Une sympathique aération des lieux... Cette sixième saison confirme au premier abord les espoirs de renouvellement suscités par les évolutions narratives et psychologiques initiées précédemment. La narration retrouve ses fondamentaux originels, sans que les péripéties sombrent dans le grand n'importe quoi qui sévissait, par exemple, dans la saison 4. Certes, House ne s'arrange pas, c'est cet extrémisme qui génère tout le charme vénéneux qu'il dégage, mais une évidente finesse fait sa réapparition dans les délires pathologiques qui l'assaillent, et l'équilibre est maintenu avec les errements de la vie privée de ses coéquipiers. Originalité des situations, maîtrise dans les débordements, et toujours une avalanche de dialogues jouissifs... Sans doute une des meilleurs saisons...
Bernard SELLIER
Deux épisodes d'ouverture insolites et captivants, un épisode 4 à l'intensité humaine et dramatique majeure. Une sympathique aération des lieux... Cette sixième saison confirme au premier abord les espoirs de renouvellement suscités par les évolutions narratives et psychologiques initiées précédemment. La narration retrouve ses fondamentaux originels, sans que les péripéties sombrent dans le grand n'importe quoi qui sévissait, par exemple, dans la saison 4. Certes, House ne s'arrange pas, c'est cet extrémisme qui génère tout le charme vénéneux qu'il dégage, mais une évidente finesse fait sa réapparition dans les délires pathologiques qui l'assaillent, et l'équilibre est maintenu avec les errements de la vie privée de ses coéquipiers. Originalité des situations, maîtrise dans les débordements, et toujours une avalanche de dialogues jouissifs... Sans doute une des meilleurs saisons...
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